Le don d’organes est un geste de grande solidarité sociale et humaine. Le don d’organes est synonyme d’espoir pour les très nombreuses personnes en attente d’une transplantation.
Le don d’organes en vue d’une transplantation peut être envisagé lors du décès de la personne ou de son vivant.
Au Québec, le don d’organes après décès n’est possible qu’en deux circonstances : après le décès neurologique et, dans de plus rares situations, après le décès cardiocirculatoire (ou mort cardiovasculaire). Dans tous les cas, il s’agit d’une personne ayant subi une lésion grave et irréversible au cerveau et chez qui il n’y a plus aucun espoir de survie.
Par ailleurs, une personne peut aussi, de son vivant, en aider une autre par le don d’un de ses reins ou d’une partie de son foie.