Le don d'organes dans un contexte d'AMM
L’entrée en vigueur de la Loi concernant les soins de fin de vie en décembre 2015 a marqué un moment important pour la société québécoise et un changement dans certaines de nos pratiques médicales. Cela signifie que des personnes ont maintenant la possibilité, selon leur condition de santé, de recourir à l’aide médicale à mourir (AMM) dans le cadre des soins de fin de vie.
De prime abord, il n’existe pas de lien de cause à effet entre l’AMM et le don d’organes. Les premiers cas de don d’organes ont été réalisés à la demande des personnes en fin de vie et c’est la volonté de ces personnes qui encore aujourd’hui guide notre approche et nos démarches. La mort survenant dans un délai hautement prévisible, le don d’organes peut, pour certaines conditions médicales, être réalisé selon des considérations similaires à celles d’un don après décès circulatoire (DDC).
Intitulé Procédure type pour le don d’organes dans un contexte d’aide médicale à mourir, le document de Transplant Québec vise à préciser, et même définir, à partir des connaissances actuellement disponibles, les considérations et les pratiques exemplaires dans le domaine du don d’organes dans un contexte d’AMM. Il a également pour objectif de soutenir l’activité en don d’organes dans des conditions spécifiques et nouvelles, tant pour les patients que pour le personnel médical des établissements et de Transplant Québec.
Pour en savoir plus sur le don d’organes dans un contexte d’aide médicale mourir, consultez :
La Procédure type pour le don d'organes dans un contexte d'aide médicale à mourir
Livret (en cours de révision)
Affiche